21 août 2014 - … ou pas.
Par Zaggus le vendredi, août 22 2014, 00:38 - Comptes-rendus - Lien permanent
Les plus jeunes et les plus assidus de musique en tout genre pourraient penser à une partie du refrain de la célèbre chanson sud-corréenne qui a dépassée les 2 milliards de vues sur Youtube. Mais que nenni. Il s’agit de la suite du titre de la semaine précedente.
Marron fait plein de pognon
Nous pensions que l’affluence des joueurs en cette deuxième période d'août n’allait que croître. Mais c’était là une bien belle erreur, car au plus fort de la soirée, nous étions en tout dix. Et pour arriver à ce nombre bien rond, il a fallu compter la progéniture de notre Ludochon en manque de jeu d’aventure (avis aux amateurs).
Et hop, 30 points pour bleu
Les jeux
- Brass (Martin Wallace chez Warfrog)
- Russian Railroad (H. Ohley & L. Orgler chez Hans im Glück)
- Carson City (X. Georges chez QWG Games)
- Race for the Galaxy (Thomas Lehmann chez Ystari Games)
- Würfel Bohnanza (Uwe Rosenberg chez Amigo)
- Desperados of dice town (B.Cathala & L. Maublanc chez Matagot)
Plus qu'une patate et j'ai gagné !
Les joueurs
- Eric, Manu, Suzel et Yoann sur Brass
- Bertand, Guillaume et Maude sur Russian Railroad
- Robin, Victor et Zag sur Carson City
Commentaires
Nouvelle partie de Russian Railroads à 3. Ca tourne bien et c'est sympa. Je reste toujours un peu frustré par ce jeu en tours finis mais c'est déjà trop l'avalanche de PV pour que ça veuille vraiment dire quelque chose de continuer. Merci à Bertrand pour l'explication des règles.
Deux parties de RFTG (Race For The Galaxy pour les intimes) où Bertrand a très rapidement pris en main les mécaniques. La connaissance des cartes, des combos, la surveillance des plateaux des autres joueurs prendra évidemment plus de temps mais la base de ce jeu mythique et un peu snobbé par les ludochons est déjà là, c'est cool :-).
Donc nagé la Brass (hum pardon).
Bon donc je résume en un mot, et malgré une nuit de réflexion (et de sommeil) je dis : "Illisible"
Toutes les 2 minutes on entend un "Ah mais non tu peux pas faire ça parce que..."
J'avoue, rageant.
Le spectre du "mais bon sang je suis crétin ou bien ? j'y comprends rien" a planné tout le long de la partie.
Du beaucoup beaucoup trop lourd pour mon petit cerveau habitué aux petits jeux fun français.
Mais un grand merci à Suzel quand même !